Il y a des années , et encore longtemps , on m'a donné des livres , des phrases , des pinceaux , les larmes inexpliquées de tant de désespoir à la fin d'un film , cette conviction comme un étendard d'être mère contre tout et je t'ai attendu mais je n'en savais rien .
Depuis que tu m'as laissée avec les notes de piano comme un chapelet , les chants et leurs sillons obstinés contre les saisons , tes visages à la mesure des statues d'Hadrien , je sais que j'aurais du te donner le piano, te peindre bien avant et te laisser en pénitence ...
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