" donc tu prends la montagne à deux mains et là , devant lui , tu la retournes ..."
vendredi 24 août 2007
mais que jamais ....
Quand même , M. a raison , je suis triste et de relire tes notes , encore davantage mais tant que le monde entier ne s'en emparera pas comme ils l'ont fait pour Maïakovski , je serai triste avec tes feuillets sur les genoux .
Et aux empires épineux que diable ! ne les oublions pas dans nos allures... ils se sablent bien avant les mers,nous sont une étape nécessaire ! nous devons passer par leur mouvementautant que cailloux peuvent naître. Partons.Julien Escoffier
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