mardi 31 juillet 2007
lundi 30 juillet 2007
20 juillet 2007
l'humain disparait derrière ce mot , la douleur ,à cause de notre faiblesse , notre impuissance à ramener, de ce coté , nos morts .
et puis la musique ...
le jour est tombé .M. jouait de la guitare et on a même chanté ensemble des vieux trucs de Brian Ferry et Elton John , dont on avait oublié les paroles .
je pensais à tes doigts sur ta guitare et les soirées , les dernières soirées à Montauban .
Puis , je suis restée seule pour écrire .
Je pense aux arbres , à la forêt .
Cet après-midi , j'ai glissé un mot dans une boite en bois à l'entrée d'une chapelle pour Will et pour toi avec vos noms dessus comme Nicole le fait à K.C ou Topeka .
sous le christ en bois au flanc dévoré , il y avait un texte et ce chiffre défintif entre nous , 53 .
Hier , il y avait des étoiles au dessus de nos têtes et des avions qui passaient en scintillant dans les trouées de nuages mais peu m'importait désormais les étoiles filantes .
est-ce que tu sais que tu as tué toutes les étoiles filantes et les cocinelles , déchiré tous mes rubans rouges , brisé ma couronne et parfois , je pourrais penser que tu avais raison parce que je t'aime et que tu es si beau , dans ce cadre , près de mon oreiller .
mais c'est faux !
et quand je lis Artaud ou Vian , il me semblent que certains mots ne sont plus que des fards dégoulinants sur une vieille magicienne prostituée aux démons , vendue depuis trop longtemps au service de la récupération des âmes ...la folie ...signez-là , chaque damnation doit lui rapporter un peu de chair et le droit de se prétendre immortelle ?
Ce n'est pas vrai qu'il y a une part à reconquérir sur Dieu .
Tu disais que tu voulais marcher dans la lumière...noire , comme sur les négatifs ?
J'ai du mal à comprendre si tu t'es imaginé quelque chose ou si la folie t'a aspiré sans répit jusqu'à ce que tu sois assez proche pour qu'elle puisse te dévorer ?
Je sais que même au plus profond de ma tristesse , je porte une lumière rouge .
Mon amour pour toujours , tu me manques tellement ...
valet de coeur 27 juillet 2007
27 juillet 2007 ...
Tell me : when you drove in the forest , how could you forget us ? Which dark whispers were turning in your head , which evil's hand was pushing in your back so you choose to die ?
I'm sitting on the beach at the end of this day , one more day without you , which way do you think I will follow without your eyes on me , which way do you think stars can follow without your eyes turned to the milky way , without your voice crying songs and your fingers on the guitars ...
The girl tonight on the sand ...she is singing love songs for us in the sunset and perhaps you could have smiled to charm her and I would have cried inside , for sure ...But it was life !
I want to be stronger than evils and gods in the sky or the woods and bring you back to life .
my left arm is hurting since the days before you died ...
14 janvier 2007
tends ta canne vers minuit juste au bord tu pêcheras d'un coup de pierre à la mare une belle lune
pas lourde accrochée à tes pieds de ciment.
Ecrit par : limboman & jcpdt7j
....
27 juillet 2007
25 juillet 2007
pages blanches
Attends ,
dimanche 29 juillet 2007
vendredi 20 juillet 2007
Vachement quoi ?
mercredi 18 juillet 2007
entre les lignes
mardi 17 juillet 2007
vendredi 13 juillet 2007
samedi 14 juillet
Et puis je vais continuer ça aussi ...
Soudain , il n’avait pas envie de raconter les routes parcourues en août sur la côte Ouest des Etats-Unis à travers le désert , les nuits rouges comme dans les romans, les réveils dans les motels au matin dans les hurlements de sirènes , les écureuils qui le fascinaient peut-être davantage que les femmes , les phares et les phoques qui se vautraient sur les rochers …De lui expliquer pourquoi il traversait uniquement cet océan , chaque année .
« vous voulez rappeler ? »
« non ! vous avez un truc pour dîner … prêt ? »
« vous êtes pressée ? je peux vous faire une omelette aux girolles …je les ai cueillies moi-même en forêt .C’est une forêt étonnante , les rhododendrons sont gigantesques … Avec du cidre ? »
« oui …après tout ! »
Elle ne bougeait plus . Elle ne le suivit même pas jusqu’à la cuisine , par curiosité .
Il se sentait nerveux , les mains sous de larges assiettes creuses qu’il avait achetées dans un restaurant du port . Serveur maladroit . Les verres .
Il avait oublié la nappe .
Elle regardait la cheminée en silence .
je ne sais pas si tu l'avais finalement lu ...Il est vingt-trois heures passées et je bois du café en écoutant Damien Rice ..j'ai écouté en boucle toute la journée " I know " Trespassers William ...de quoi devenir fou si on reste prostré devant un de tes portraits , ce que j'ai fait .
On aurait pu écrire des trucs fabuleux ou toi, les jouer , je ne sais même plus ce que tu en pensais vers la fin .Tu étais si exigeant et en même temps si indifférent ...la fulgurance pouvait être humaine et on avait le droit de passer après Beckett ou Shakespeare , en écrivant vite , sans réfléchir , j'en suis certaine ...
J'ai appelé B. avant de partir . Il travaille sur un album . Il sera là quand je reviendrai pour continuer " ton album " ...j'aimerais chanter dans une chapelle ou à Lyon , au théâtre , pourquoi pas ?
Do va s'inscrire dans une école d'art et préparer son troisième passage de bac .
Je crois qu'il a peur de te rencontrer ici ....
Je te cherche , ça c'est certain !
if you need someone to guide you
on this unknown road 5
if you’ve lost your sight 5
and your voice too 4
after all those days 4
under the ground 4
just let me know 4
I will cross the wall 5
to help you ….3
If you need someone to tell you 8
You are still the one 5
We love forever 5
If your head hurts 4
And you’ve found 4
no friend no light 4
just call me ,lover
I will cross the wall
To hold you …3
I think I'm lost too ...
Carta de amor
Ya nunca olvidaré
Pero quién habla de olvido
en la prisión en que tu ausencia me deja
en la soledad en que este poema me abandona
en el destierro en que me encuentra cada hora
Ya nunca despertaré
Ya no resistiré el asalto de las inmensas olas
que vienen del dichoso paisaje que tú habitas
Demorándome afuera bajo el frío nocturno me paseo
sobre esta encumbrada tabla de donde se cae de golpe
MEXICO 1942
Les choses magiques
jeudi 12 juillet 2007
The distance by now ...
I know i'll never see you
I know i'll never run into your body walking through the crooked streets
I know i'll never hear you
I know i'll never hear you like a sound that wafts inside from outside there
I know that if i waited i know that if i wait a thousand days will lie wasted with thoughts of you
My love i've pictured this:
Your violet eyelids opened to say "here's where you've been"
Your lips open to say "my darling it's been so very long and i'm in pain"
I know i'll never feel you
I know i'll never get so close to you that i can't smell anything else
I know i'll never see you
I know that where you go i'll still be far from where you are
My love i've pictured this:
Your violet eyelids opened to say "here's where you've been"
Your lips open to say "my darling it's been so very long and i'm in pain" sometimes i picture all your fingers
Sometimes they're crawling down my spine
Sometimes they're buttoning your jacket
Sometimes you're far but you're still mine
I know that it is raining
And i know that the rain will soak you through
And leave you like the tattered sky
I know i go in circles
I know that window panes bring only rain and not your face
Sometimes i picture all your fingers
Sometimes they're crawling down my spine
Sometimes they're buttoning your jacket
Sometimes you're far but you're still mine
I know that it is raining and
I know that the rain will soak you through and leave you like the tattered sky
I know i go in circles
I know that window panes bring only rain and not your face
TRESPASSERS WILIAM
samedi prochain
Hubert Shelby : la chose la plus miséricordieuse qui puisse arriver à certains d'entre eux , c'est de pouvoir mourir "
non, non et non ! la rédemption n'est pas uniquement le joker des Dieux .
mercredi 11 juillet 2007
re-birth day ...
je t'aime ,dans cette chambre à St Valery en Caux , loin des falaises .
J'ai pris un bouquet pour toi à l'église , trois roses déjà coupées pour te les rapporter à Paris et les poser près de ton portrait .
Je ne t'ai pas oublié pendant ce mariage mais je n'étais pas triste malgré ce moment que j'aurais voulu vivre avec toi , si l'histoire de notre rencontre n'avait pas été celle de deux âmes mais celle de deux humains .
J'ai regardé les bébés qui couraient au milieu des invités en déséquilibre sur leurs jambes rondes et les petites filles blondes en robes blanches et roses , tout ce rose et ce blanc des rubans , des papiers cadeaux et des bouquets sur les tables et plus loin dans les rues du village , tous ces buissons d'hortensias et de roses m'ont emplie de douceur , d'une sorte de lumière sans douleur , intérieure .
Dans la salle de réception , il y avait une fresque étonnante , pas tout à fait laide , une sirène sortant des flots entre les murailles de craie, avec des fleurs dans la chevelure , peinte lorque tu avais vingt ans , signée Boulet et Mondésir !
Je ne sais pas encore si je peux lire des signes tant je les recherche mais je sais que je t'aurais épousé le jour même si tu me l'avais demandé , mais tu l'avais rêvé tout haut ..." Quand on aura plus envie l'un de l'autre , on se mariera "
shooting dogs ...
Retour à la normale ?
Je commence ton second portrait . L'appareil-photo , à présent les pinceaux .
Les femmes qui t'aimaient ont du user leur regard au tien , mais il en manquait sûrement un .
Je pourrais couvrir les murs d'un musée italien si la vie me laisse le temps d'errer au long de tes visages .
Parfois , j'oublie la saison mais je sais bien que c'est l'automne désormais et que la cour de récréation est vide d'un petit garçon triste .
Je n'ai aucune photographie de toi quand il aurait été encore temps de s'accrocher à ta main et de peser lourd pour que tu comprennes que tu n'étais pas qu'un reflet .
La nuit dernière
mardi 10 juillet 2007
une trace ineffaçable n'est pas une trace ...J.Derrida
lundi 9 juillet 2007
Je ne sais pas si nos âmes font l'amour mais quand je m'envague , je dérive toujours vers toi ...
l'arbre et le lit
je ne sais plus exactement quand j'ai commencé à voyager, mais je sais que je l'ai fait pour échapper à la maladie. Ce fut pour moi le début d'une nouvelle vie et si, aujourd'hui, mes souvenirs les plus anciens s'estompent peu à peu, j'ai en mémoire quelques images inaltérables que je peux feuilleter comme un album de vieilles photographies. Ainsi de ma première escapade, il me reste le décor d'une chambre florentine. Le ciel était bleu, d'un bleu très pur, comme je n'en vis jamais ailleurs. Et, dans ce ciel, un arbre sélevait vers lui en le réclamant. Les branches sans feuilles s'étiraient dans les airs, convulsées d'espérance. Semblant ne pas craindre le vide, elles s'élançaient hors d'elles-mêmes, tendues vers l'extérieur et offraient de multiples bourgeons; nous étions au prntemps. Ou plutôt nous étions le printemps. Je sentais tout autour de moi ses frémissements m'envelopper et me happer. La fenêtre, entrebaillée, implorant l'ouverture, le chant des oiseaux, déjà gonflé d'une puissance prête à éclore et, baignant le tout, une lumière douce et fraîche, offerte par avance auv fureurs de l'été.Tout, en cet instant, était désir, élan irrépressible vers l'accomplissement. Et moi, assis là, au fond de ma chambre, je m'emplissais de ce désir. Désir de me tenir droit à nouveau, désir de voir mes jambes mourantes bourgeonner et se tendre, désir de renaître après un trop long hiver. Et ainsi, mêlant mon désir à celui des éléments, je m'y suis perdu. L'espace d'un instant, le monde et moi, mêlés l'un à l'autre, nous étions le printemps. Fondu dans la nature, en communion avec elle, je pouvais goûter une parcelle de son éternité. Logé au quatrième étage, je ne voyais, par la fenêtre, que la tête de l'arbre. Mais je savais que la place, tout en bas, appelait déjà son ombre de ses voeux.ç'aurait pu être une place de Séville, ou un parc londonien, une fontaine parisienne, ou une ruelle pavée de Lisbonne. ç'aurait pu être n'importe quel endroit où, un jour, un homme a frémi à la vue d'un bourgeon. C'était Florence. Je n'ai pas pris mes béquilles pour m'approcher de la fenêtre- à cette époque, je pouvais encore marcher- j'ai préféré demeurer immobile, par peur de briser le charme, et j'ai écouté la ville. Je n'ai d'abord perçu qu'un brouhaha, dominé de temps en temps par quelques voix de femmes,plus aiguës. Puis, j'ai pu distinguer le bruit des touristes, venus pour voir où être vus. Je devinais les bermudas et les appareils photo, les disputes au sujet du chien qui ne pourrait pas entrer sans le musée et les explications paternelles au sujet de la conversion en lires "mais non, ce n'est pas compliqué" Parfois bruyantes, parfois plus discrètes, au rythme des patrouilles de police, j'entendais aussi l
es harangues des vendeurs à la sauvette cherchant à attirer l'attention. Leur marchandise clinquante, étalée sur des couvertures était prête à être remballée à la moindre apparition des forces de l'ordre, prête, de même, à être réexposée sitôt l'alerte passée. Et puis, il y avait, transperçant le tout, les cris des enfants qui pleuraient pour une glace, ou les sifflets des ouvriers saluant une jupe un peu courte. Je suis resté longtemps ainsi, perdu dans la contemplation de cette ville.C'était mon premier voyage.lorsque je suis rentré, j'ai dû subir à nouveau des soins, et l'arrivée de l'été a coïncidé avec la généralisation de mon mal, l'adoption du fauteuil roulant et l'apparition d'une douleur lancinante à l'abdomen. L'opération passée, j'ai aussitôt pensé qu'il me fallait repartir. J'étais, je crois, encore porté par l'espoir que la maladie serait plus attachée à sa terre natale qu'à mon corps, et qu'elle finirait bien par renoncer à me suivre.Des régions visitées à cet été-là, c'est un petit village du Portugal qui m'a laissé le souvenir le plus prégnant. J'occupais une chambre sous les toits, avec vue sur la place principale. Curieusement, comme à Florence, je ne voyais de la fenêtre que le haut d'un arbre, cette fois chargé de feuilles, et seulement un ciel blanc, écrasé de lumière. La fenêtre grande ouverte, j'étais assis dans mon fauteuil, contre le mur du fond, cherchant en vain un peu de fraîcheur. Comme tout le monde, j'attendais, pour sortit, que la chaleur ait commencé à décliner. elle était si intense à cette heure que le contours de choses, habituellement si rigides, paraissaient hésiter. L'arbre lui-même, pourtant robuste et droit, était devenu flou et semblait renoncer à sa forme pour se fondre avec délectation dans le creuset brûlant du ciel. C'est là que encore une fois, ruisselant de sueur, dissous par le soleil, je me suis répandu moi aussi dans ce bouillonnement universel. Tout à mon abandon, j'ai joui, à nouveau, du plaisir indicible d'appartenir à l'infini;mon corps meurtri s'est désagrégé, emportant avc lui la douleur et le fauteuil roulant et, de la place en contrebas, comme des vapeurs, sont montés les sons de la terre portugaise; Unimmense silence, pesant comme le soleil et, de loin en loin juste pour le souligner, le halètement rauque d'une voiture grimpant la rue du port. Et, derrière, comme pour rythmer le silence, pour l'installer dans le temps, la clameur sourde et régulière de l'océan. J'ai respiré profondément et j'ai goûté son odeur;J'étais vraiment au Portugal, j'étais bien. quelques temps plus tard-je ne saurais être plus précis- tenaillé par des douleurs de plus en plus vives, j'ai dû regagner mon centre de soins. J'appris que la paralysie ne s'arrêterait pas aux jambes, mais finirait par gagner tout le corps. Les médecins les plus optimistes m'ont glorieusement affirmé pouvoir sauver le mouvement de rotation de ma tête. Il est évidemment plus difficile de voyager pour un homme prisonnier de sa paralysie que pour un individu bien portant. Mais c'était devenu pour moi un besoin vital. plis je m'enfonçais dans la maladie, plus il me fallait bouger, comme si je devais gratter quelque titanesque prurit contre la surface rugueuse de la terre. Je suis donc reparti, tant bien que mal.A l'automne, j'ai visité la Chine et le Japon. Là-bas, les feuilles sont lourdes et masquentleur mort prochaine, comme de vieilles femmes trop fardées, sous un doré éclatant; là-bas, les abres rejoignent le ciel et épousent sa courbure. J'ai vu dans ces pays des choses merveilleuses et j'ai pu y connaître l'extase. Mais plus jamais la douleur ne m'a quitté. Elle a traversé mes voyages comme une longue aiguille de souffrance, transperçant chaque image de sa pointe acérée. Sur ce clou effilé, mes souvenirs se sont fichés à la manière de perles multicolores.Pourtant, plus je souffrais, plus je voulais partir loin, plus je voulais partir vite. bien que désormais définitivement alité, j'ai visité plus de pays durant cet hiver que dans ma vie entière. Avec une sorte de frénésie, j'ai parcouru les pays de l'Est et la Russie. Ne marquant plus guère de pauses, j'ai vu les Etats-Unis et le Canada. J'ai sillonné toutes les contrées où les arbres sans feuilles portent des couteaux de givre qui les blaissent dans leur chair. J'ai entendu le crissement des patins qui rayent la glace et les craquements déchirants du gel tenaillant le plus profond des choses. Tout était là, en contrebas. Jusqu'à ce matin de pluie, où ils sont venus me chercher. C'était au cours de l'un de mes séjours à l'hôpital. Ils m'ont soulevé du lit pour m'enmener dans un service de traitement intensif. Pensant sans doute me faire plaisir, ils m'ont, en passant, approché de la fenêtre, pour me permettre de regarder dehors. J'ai vu le haut de mon arbre plonger vers le sol et s'enraciner dans une cour de ciment. il y avait quelques parterres de pelouse et des places de parking réservées aux médecins. il n'y avait plus, il n'y avait jamais eu d'ouvriers italiens ou d'enfants chinois, pas d'océans, pas même une mer.J'ai senti mon collier de perles se briser et se répandre sur le sol, et j'ai pleuré, sachant que je ne pourrais jamais les ramasser;On m'a porté dans une nouvelle chambre, emplie d'instruments étranges. J'ai d'abord cédé au désespoir, pensant devoir renoncer pour toujours aux voyages. Puis, j'ai vu la jardinière, sur la fenêtre. Je l'ai observée longuement. Je sais qu'elle fera l'affaire. J'y devine déjà un bourgeon.
vincent escoffier-( collection page blanche-donnez de vos nouvelles-éditions gallimard-1997-)
vendredi 6 juillet 2007
Mon capitaine lancinant ...
jeudi 5 juillet 2007
presque un an d'amour
Tu me manques, Babyblue .
Six mois encore ou cinq pour savoir si Ph a raison pour ton retour .
Peut-être dans le studio d'enregistrement ?
mercredi 4 juillet 2007
entre zivvougs
et ça , quand il fallait traverser la nuit
I remember it well
The first time that I saw
Your head around the door
'Cause mine stopped working
I remember it well
There was wet in your hair
I was stood in the stairs
And time stopped moving
I want you here tonight
I want you here
'Cause I can't believe what I found
I want you here tonight
I want you here
Nothing is taking me down, down, down...
I remember it well
Taxied out of a storm
To watch you perform
And my ships were sailing
I remember it well
I was stood in your line
And your mouth, your mouth, your mouth...
I want you here tonight
I want you here
'Cause I can't believe what I found
I want you here tonight
I want you here
Nothing is taking me down, down, down...
Except you my love. Except you my love...
Come all ye lost
Dive into moss
I hope that my sanity covers the cost
To remove the stain of my love
Paper maché
Come all ye reborn
Blow off my horn
I'm driving real hard
This is love, this is porn
God will forgive me
But I, I whip myself with scorn, scorn
I wanna hear what you have to say about me
Hear if you're gonna live without me
I wanna hear what you want
I remember december
And I wanna hear what you have to say about me
Hear if you're gonna live without me
I wanna hear what you want
What the hell do you want?
damien Rice
De choses et d'autres ...
Demain , B. vient déjeuner avec moi .C'est étonnant comme il trouve les musiques dès que je lui montre un poème , des musiques qui me vont .
j'aurais tant aimé qu'on partage ça !
mardi 3 juillet 2007
young Adam
lundi 2 juillet 2007
odeur de pain brûlé
veille
dimanche 1 juillet 2007
flying
je cherche des rois sur les épaules desquels tu aurais pu
poser les mains
et je sens de la rage au fond de ma gorge
et au creux du ventre
j'écoute Antony
et je me souviens
qu'il y avait quelque chose
qui t'inqui'était
mais tu sais quand on a des ailes doubles
on peut mieux voler
mieux s'écraser
ou mieux se perdre de l'autre coté des Dieux
je le ferai
sais pas encore comment
mais j'y arriverai
laisse moi du temps
laisse moi du temps ...
tu voulais ...vite !!!
laisse-moi du temps
laisse-moi du temps "