" donc tu prends la montagne à deux mains et là , devant lui , tu la retournes ..."
samedi 22 septembre 2007
septembre
le coin de ta rue , le restaurant d'à coté , le marché , l'entrée qui ressmblait à un jardin quand on ressortait , me manquent ...J'aurais voulu rester pour toujours , dormir là-bas ...
Et aux empires épineux que diable ! ne les oublions pas dans nos allures... ils se sablent bien avant les mers,nous sont une étape nécessaire ! nous devons passer par leur mouvementautant que cailloux peuvent naître. Partons.Julien Escoffier
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