" donc tu prends la montagne à deux mains et là , devant lui , tu la retournes ..."
dimanche 16 septembre 2007
mon dieu ,
que tu es beau ...lorsque je me retourne , je regarde ton visage d'agneau idéal ...une telle douceur , une telle vulnérabilité , si proche de l'enfance s'il n'y avait cette inquiétude au fond des yeux ...
Et aux empires épineux que diable ! ne les oublions pas dans nos allures... ils se sablent bien avant les mers,nous sont une étape nécessaire ! nous devons passer par leur mouvementautant que cailloux peuvent naître. Partons.Julien Escoffier
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