" donc tu prends la montagne à deux mains et là , devant lui , tu la retournes ..."
mardi 18 septembre 2007
quand les murs se lissent
et que les yeux de mon inquiet ne voient plus aucune ombre où te saisir , te redessiner , la vie me quitte aussi , je deviens légère , pâle . Si je marche c'est que tu as posé sur mon front un nom de guerrier et qu'il me faudra ouvrir le passage un jour !
Et aux empires épineux que diable ! ne les oublions pas dans nos allures... ils se sablent bien avant les mers,nous sont une étape nécessaire ! nous devons passer par leur mouvementautant que cailloux peuvent naître. Partons.Julien Escoffier
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire