jeudi 31 mai 2007

Le grand sommeil

le tien , parfois j'ai peur que tu aies froid dans ce jardin ...que sait-on là aussi de ce que ressent une âme sans son enveloppe chaude ? Tu n'aurais pas aimé Paris à présent . Ma lassitude vient de ça aussi , de cette pluie et de cet appartement fermé à présent et qui était mon refuge .Tu me disais " tu es en vacances chez moi ? Mais attention , c'est la vie , c'est le quotidien ..."
J'oubliais toute cette humanité en parapluie entre tes bras et tes cartons . De l'autre coté de la tenture de velours , il y avait notre tanière .

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