le tien , parfois j'ai peur que tu aies froid dans ce jardin ...que sait-on là aussi de ce que ressent une âme sans son enveloppe chaude ? Tu n'aurais pas aimé Paris à présent . Ma lassitude vient de ça aussi , de cette pluie et de cet appartement fermé à présent et qui était mon refuge .Tu me disais " tu es en vacances chez moi ? Mais attention , c'est la vie , c'est le quotidien ..."
J'oubliais toute cette humanité en parapluie entre tes bras et tes cartons . De l'autre coté de la tenture de velours , il y avait notre tanière .
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire