" Enfin, il y a dans l’exposition une œuvre à part : un autoportrait, magistral, violent avec un regard borgne mais terrible, marqué à la serpe par une chevelure rebelle et une bouche dont les dents mordent et enragent. C’est que la colère habite cette angoisse-là, la violence d’un artiste hanté par ses liens, habité par ses frères de sang et de culture. Marqué au blanc d’un vide impossible à combler.
Guy Gilsoul
Le Vif/L’Express, 3 juin 2005
c'est le titre d'un de tes premiers mails , je viens de réaliser qu'il s'agissait d'un peintre et pas d'un musicien ...
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