" donc tu prends la montagne à deux mains et là , devant lui , tu la retournes ..."
mardi 24 juin 2008
hier soir ,
la ville ressemblait à une piste d'atterrissage et j'ai oublié mon téléphone quelque part...la ville est alourdie de chaleur ...je regarde les Vespas ...
Et aux empires épineux que diable ! ne les oublions pas dans nos allures... ils se sablent bien avant les mers,nous sont une étape nécessaire ! nous devons passer par leur mouvementautant que cailloux peuvent naître. Partons.Julien Escoffier
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