Hier soir, je pensais à lui, à ses envies de musique, à nos délires lorsque nous l’imaginions lui sur scène, moi en groupie jalouse.
Ce matin je voulais écrire, je ne sais pas sur quel support, ni quel contenu, mais c’était comme une évidence de poser des mots aujourd’hui. Et puis…. rien, rien n’est venu, pas de mots, le vide. Amputée de mots. Comme son absence renvoyée encore plus à la figure.
Alors je l’ai relu.
Ton dernier tableau est tendre, tout doux.
Je t’embrasse avec l’émotion particulière à cette journée.
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