lundi 15 avril 2013
LA PORTE
Je reviens sur nos pas sans trop savoir comment ...La nuit est chaude en avril et tu vois,je pourrais encore écrire si je n'étais pas devenue paresseuse ou plus vieille de six ans ? J'ai cherché des photographies puis ,j'ai trainé de pages en pages.IL y a eu une ,deux explosions à Boston à l'arrivée d'un marathon mais toi, tu faisais de la plongée . Je n'ai pas retrouvé ta musique ,l'émotion . Le piano m'appartient,enfin ...c'était pour toi , pour te retenir en bords d'ivoire .
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