" donc tu prends la montagne à deux mains et là , devant lui , tu la retournes ..."
vendredi 19 septembre 2008
Quarante ans
je pense à toi même si le fil de cette écriture s'est distendu depuis que je vis en haut de cette tour , sans ordinateur ni téléphone ...tu as repris ta place sur le piano , les roses sont encore en carton .le monde tourne et le chemin sur lequel tu riais est insensé et éternel .
Et aux empires épineux que diable ! ne les oublions pas dans nos allures... ils se sablent bien avant les mers,nous sont une étape nécessaire ! nous devons passer par leur mouvementautant que cailloux peuvent naître. Partons.Julien Escoffier
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire