" donc tu prends la montagne à deux mains et là , devant lui , tu la retournes ..."
vendredi 23 mai 2008
de l'autre coté de la Seine
là où tu t'étais senti cerné par la lâcheté de ces gens qui acceptent des heures de collaboration et d'ennui qu'on nomme travail ,j'ai défendu notre histoire, notre douleur ,ta beauté éternelle.
Et aux empires épineux que diable ! ne les oublions pas dans nos allures... ils se sablent bien avant les mers,nous sont une étape nécessaire ! nous devons passer par leur mouvementautant que cailloux peuvent naître. Partons.Julien Escoffier
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