mercredi 8 juillet 2009
Julien...
Il y aura toujours cette mélodie sur le piano, cet air doux languissant et funèbre , le chiffre 53 et les pas aux cotés des exclus , nous marchons et l'été est de nouveau sur la ville , ils ont détruit le café , j'ai revu l'Italien , je lui ai dit où tu dormais ...le monde est moche , enfin ceux qui le dirigent ...mais la vie vaut la peine ou la faute . Tu m'aimes encore ?
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